On ne peut pas envisager les migrations en se focalisant sur ce que l’on a sous les yeux.
Si des femmes, des hommes et des enfants sont arrivés en France, ce n’est pas par choix, mais bien dans une perspective de survie contre un système capitaliste de plus en plus prédateur qui, lorsqu’il est en crise ou a besoin de ressources, engendre des guerres atroces.
Contre la logique du bouc émissaire
Envisager un « tri » entre « réfugiés » et « migrants économiques » est moralement écœurant. Mais c’est (...)